BTC, DEFI, NFT, META… WTF ?! 🤯

Des Chiffres Et Des Lettres, édition numéro 38

Le 17 novembre 2021

Au programme d’aujourd’hui, j’ai décidé de parler d’un des changements majeurs que nous vivons ces dernières années.

La blockchain, les cryptoactifs, la DeFi, les NFT et le metaverse… Ça vous parle ?

Run Boy Run

Je consomme entre 2 et 3 heures de contenu chaque jour. Le matin, je commence ma journée en lisant 30 minutes, dans le calme. Après une première séance de travail, je fais du sport en écoutant un podcast, chaque jour. Le midi, j’aime regarder une vidéo sur Youtube. Et le week-end, je réserve une demi-journée pour lire mes newsletters préférées et des articles que j’ai repérés pendant la semaine. C’est une passion. Un moyen de rester étudiant à vie, et de combler ce besoin de connaissances que nous ressentons tous.

Économie, entrepreneuriat, finance, marketing, écriture, tech… Ce sont mes sujets de prédilection.

Hier, en courant, j’écoutais le podcast La Martingale. L’épisode du jour parlait des NFT. Et comme souvent quand je cours, une idée me traverse l’esprit :

“ Et si tu écrivais une newsletter dans laquelle tu expliques un à un ces concepts récents de crypto, blockchain, NFT, etc. Et si tu partageais tes meilleures ressources à tes lecteurs ? Ça serait également un très bon moyen de créer de nouvelles conversations ! ”

Et donc, me voici en train d’écrire cette newsletter.

Je ne suis pas expert en blockchain, en cryptomonnaies ou en NFT. Mais j’ai consommé assez de contenu pour vous présenter les grandes lignes de chacun de ces concepts. À la fin de cette édition, vous aurez une vue d’ensemble de cette révolution que nous vivons actuellement. Vous pourrez approfondir vos recherches, grâce aux ressources que je mettrai en bas de cette page.

C’est parti !

Une Brève histoire d’Internet

Au commencement, il y eut Internet.

C’est dans les années 1990, avec le World Wide Web, qu’Internet est rendu disponible au grand public. Bien aidé par la révolution des personal computers (PC), qui font entrer l’informatique dans les entreprises et les ménages.

À l’origine, Internet était basé sur ce qu’on appelle aujourd’hui le Web 1.0. Un réseau où les sites Internet se composaient de pages statiques, diffusant de l’information. Mais où les utilisateurs ne disposaient d’aucun moyen pour interagir avec le site.

À la fin des années 1990, est né le Web 2.0. Un Internet où les utilisateurs pouvaient enfin interagir avec les sites Web, grâce par exemple à des formulaires – reliés à des bases de données – et aux réseaux sociaux. Nous passons d’un Web statique à un Web dynamique.

Avec le développement massif du Web, le volume d’information disponible explose. On parle de Big Data. Parmi ces informations se trouvent des données, à propos des utilisateurs d’Internet et de leur comportement sur la toile. En informatique, une donnée est la représentation d’une information dans un programme. Il s’agit souvent de chaînes de caractères (texte), d’images, de sons, ou de vidéos.

Or, toutes ces données doivent être stockées. Elles sont enregistrées dans de la mémoire informatique – s’appuyant sur la technologie des semi-conducteurs – qui est un des composants essentiels des ordinateurs. Cette mémoire est présente dans les appareils des utilisateurs (PC, Smartphones, tablettes…). Mais elle est de plus en plus centralisée dans des serveurs distants. C’est que l’on appelle le Cloud Computing.

« Au début des années 2000 sont apparus des hébergeurs web capables d’héberger des applications dans leurs locaux informatiques. En particulier, Google et Amazon ont simultanément repris le terme ‘cloud computing’ en 2006. […] Les premières applications Web 2.0, qui ont été déployées en cloud computing, sont le courrier électronique, les outils collaboratifs, le CRM, les environnements de développement et de test (informatique). » Wikipédia

La grande majorité des données informatiques est donc centralisée dans des serveurs informatiques (les data centers : centres de données), détenus par des organisations privées ou publiques. Un serveur informatique est un ordinateur qui rend un service (le stockage par exemple) à un ordinateur client.

« Les centres de données servent à héberger les milliards de milliards de gigaoctets présents sur internet, mais aussi les données que toute personne ou compagnie génèrent et utilisent. Certaines sociétés construisent et entretiennent leurs propres centres, d’autres louent des serveurs dans des installations de colocation (appelées colos) et d’autres encore utilisent des services publics. Les centres de données sont utilisés par tout le monde :

• les agences gouvernementales ;
• les institutions financières ;
• les fournisseurs d’informations en ligne ;
• les réseaux sociaux ;
• les services de courriers électroniques et de messagerie instantanée ;
• les fournisseurs de cloud computing ;
• les services de jeux en ligne ;
• les entreprises de télécommunications, etc.

À partir du moment où vous utilisez un réseau social, un email ou un service de stockage en ligne, vos données sont hébergées dans un data center. » Futura Sciences.

L’innovation offre aux ordinateurs une puissance de calcul toujours plus importante. Les algorithmes informatiques sont désormais capables de rendre les machines intelligentes – en s’appuyant sur le Big Data et l’intelligence artificielle (IA) – pour automatiser des tâches, résoudre des problèmes et faire des prévisions.

📌 Qu’est-ce que la Loi de Moore ? (Futura Science)

En centralisant l’information toujours plus massive, et en disposant d’une puissance de calcul toujours plus importante, naissent des opportunités… Mais aussi des risques, comme l’atteinte à la vie privée, la cyberdépendance ou la cybercriminalité.

Nous arrivons petit à petit à un Web 3.0. Un Internet proposant de nouveaux usages, comme le Web Sémantique, l’Internet des Objets (IoT) et la blockchain.

📌 Faut-il parler du Web 3.0 comme du futur d’Internet ?

Ce qui nous intéresse particulièrement ici, c’est la blockchain.

La blockchain est une technologie récente, développée à partir de 2008. Elle permet à ses utilisateurs de partager des données sans intermédiaire.

« Développée à partir de 2008, la blockchain est en premier lieu une technologie de stockage et de transmission d’informations. Cette technologie offre de hauts standards de transparence et de sécurité car elle fonctionne sans organe central de contrôle.

Plus concrètement, la blockchain permet à ses utilisateurs – connectés en réseau – de partager des données sans intermédiaire. » Source : Qu’est-ce que la blockchain ? (economie.gouv.fr).

Une blockchain est une grande base de données, partagée simultanément avec tous ses utilisateurs qui :

• détiennent ensemble la base ;
• ont la capacité d’y inscrire des données.

La modification de la base de données par ses utilisateurs est soumise à des règles spécifiques, fixées par un protocole informatique, sécurisé grâce à la cryptographie.

La gestion de la sécurité de la blockchain est décentralisée. Cela empêche la falsification des transactions. Chaque nouveau bloc de données ajouté à la blockchain (“chaîne de blocs” en français) est lié au précédent. L’intégration des blocs est chronologique, indélébile et infalsifiable.

La blockchain répond donc aux limites du Web 1.0 (un Internet statique) et du Web 2.0 (la centralisation des données). Elle ouvre la porte à de nouvelles applications, comme les cryptomonnaies, la finance décentralisée, les smart contracts ou les NFT.

BTC, DEFI, NFT, META… WTF ?! 🤯

Commençons par définir le concept de crypto-actif.

Un crypto-actif est un actif virtuel, stocké sur un support électronique. Il permet à une communauté d’utilisateurs de réaliser des transactions, sans intermédiaire. Ce support électronique peut évidemment être une blockchain, et ces transactions peuvent être financières. Apparaît alors le concept de cryptomonnaie.

📌 Crypto-monnaies, crypto-actifs… Comment s’y retrouver ? (economie.gouv.fr).

Selon le dictionnaire Larousse, une cryptomonnaie est un “moyen de paiement virtuel utilisable essentiellement sur Internet, s’appuyant sur la cryptographie pour sécuriser les transactions et la création d’unités, et échappant à tout contrôle des régulateurs et des banques centrales.”

La cryptomonnaie est donc un moyen de paiement, utilisable uniquement sur Internet, sécurisé grâce à la cryptographie, et ne dépendant d’aucun intermédiaire.

Mais, la cryptomonnaie est-elle vraiment une monnaie ?

Eh bien non, selon l’AMF (l’autorité des marchés financiers). Cela se justifie notamment par son caractère volatil. En effet, la valeur d’une cryptomonnaie varie énormément dans le temps. Elle dépend uniquement de la loi de l’offre et de la demande. Les Etats et les Banques Centrales n’ont pas le pouvoir de réguler le cours de ces cryptoactifs.

Notez tout de même que l’investissement dans les cryptomonnaies est aujourd’hui bien encadré en France par la loi Pacte, et facilité par des PSAN : prestataires de services sur actifs numériques.

📌 Investir en crypto-actifs : quel professionnel choisir ? (AMF).

La reine des cryptomonnaies est le Bitcoin (BTC). Créé en 2009, le Bitcoin repose sur une blockchain et s’échange uniquement en ligne. Il peut être accepté comme moyen de paiement sur certains sites internet, voire certains commerces de proximité. Il peut être converti en monnaie comme le dollar ou l’euro. Encore une fois, le Bitcoin n’est pas considéré comme une monnaie (à l’exception du Salvador).

À l’heure actuelle, plus de 18 millions de Bitcoin sont en circulation. De nouveaux blocs de Bitcoin s’ajoutent sur la blockchain, au fur et à mesure que des problèmes informatiques sont résolus par des mineurs. Le nombre maximal de Bitcoin sera de 21 millions.

Beaucoup de particuliers et d’entreprises placent leur argent dans le Bitcoin. À ce jour (15 novembre 2021), l’évolution du cours du Bitcoin est la suivante :

L’autre célèbre cryptomonnaie est l’Ether (ETH). L’Ether est hébergée sur la blockchain Ethereum. Une blockchain très intéressante, car elle :

• est ouverte à tous ;
• permet d’échanger de nombreuses cryptomonnaies ;
• est sécurisée par une large communauté ;
• permet l’usage de milliers d’applications.

« Cela signifie également qu’Ethereum permet plus que des paiements. Il s’agit d’un marché de services financiers, de jeux et d’applications qui ne peuvent pas vous pister ou vous censurer. » Ethereum.org

La technologie blockchain révolutionne le monde de la finance. En effet, ces dernières années, nous avons vu émerger la finance décentralisée, appelée DeFi (Decentralized Finance). La finance décentralisée a pour objectif de proposer un écosystème de services financiers sans intermédiaires. En utilisant la DeFi, vous conservez directement vos fonds sur vos portefeuilles personnels (les wallets) et vos transactions se font de pair à pair (P2P ou peer-to-peer) via la blockchain. Chaque transaction donne lieu à des smart contracts : des contrats numériques.

Selon Forbes, les promesses les plus répandues à propos de la DeFi sont : 

• la suppression des intermédiaires ;
• la réduction des coûts ;
• la réduction des inefficacités ;
• la création d’un cadre plus transparent plus résilient et mieux distribué ;
• et l’accès universel.

« L’objectif de la DeFi – au-delà du lucre apparent et réel – est la création de valeurs financières, accessibles à tous, de façon décentralisée et sans intermédiaire, instantanée, transparente et logique, pour faire des transactions, pour créer et gérer son épargne, pour faire du trading, pour obtenir des rendements avec des outils et sur des valeurs financières non régulées par des organes centraux habituels. » La Tribune

Pour vous donner un exemple d’application de la DeFi, sachez qu’aujourd’hui, vous pouvez acheter en ligne des tokens (jetons) représentant une part d’un actif immobilier (ou d’une société détenant un parc immobilier). En quelques minutes, vous pouvez détenir une partie d’une maison à Détroit, pour moins de 100$, via une solution comme RealT.

📌 RealT, le système de tokénisation de biens immobiliers

Lorsqu’un token est unique, on parle de NFT : Non Fongible Token (token non fongible). Si un Bitcoin a la même valeur qu’un autre Bitcoin, un NFT est unique. Il ne peut pas être échangé contre un autre token identique. Comme une œuvre d’art, un terrain, ou une musique. Aussi, il ne peut pas être reproduit (merci la blockchain).

Si vous achetez un NFT, vous avez la garantie d’être le propriétaire exclusif d’un actif numérique. Cela peut-être une œuvre d’art, une carte de footballeur, une musique, un livre, ou un tweet par exemple. Comme une œuvre ou un objet de collection, la valeur du NFT est subjective et évolue dans le temps.

📌 Une œuvre d’art crypto vendue 69,3 millions de dollars aux enchères, un record (Business Insider).

📌 Plus de 400.000 $ pour la carte de foot NFT Cristiano Ronaldo (Journal Du Geek).

📌 Voici le classement des 10 artistes musicaux qui se sont le plus enrichis grâce aux NFT (Konbini).

📌 NFT : Booba pourrait avoir gagné près de 600 000 euros en quelques heures (C News).

📌 NFT : Jack Dorsey vend son tout premier tweet pour 2,9 millions de dollars (Les Echos).

Des chiffres qui font tourner la tête.

Les NFT sont en train de révolutionner l’art. On parle même de Renaissance : époque de rénovation culturelle et artistique.

Durant la Renaissance italienne, de riches mécènes payaient Léonard de Vinci pour qu’il crée des peintures de scènes réalistes, sur des panneaux en bois de peuplier. Aujourd’hui, l’artiste Beeple crée des œuvres 3D postapocalyptiques sur son ordinateur, vendues sur la blockchain Ethereum.

« Le designer Beeple produit depuis 13 années un dessin numérique par jour, qu’il publie gratuitement sur Instagram. La collection de ces images agrégées en une seule a été vendue par la maison de vente Christie’s pour 69,3 millions de dollars le 11 mars 2021. L’acheteur, qui se fait appeler Metakovan, avait déjà investi dans une vingtaine d’œuvres de Beeple en décembre 2020 à hauteur de 2 millions de dollars, avant de les tokeniser, c’est-à-dire de les lier à des actifs financiers et d’en mettre une partie en vente, comme on le ferait pour les actions d’une entreprise. Suite à la vente à 69,3 millions de dollars, les tokens de Beeple ont vu leur valeur initiale augmenter de plus de 40% ». France Culture

📌 Qui est Beeple, le crypto-artiste qui bat les records NFT (Beware)

📌 Après la folie du Bitcoin, la folie du « crypto-art » ? (Les Echos investir)

Terminons cette édition avec le metaverse.

« Notre marque est tellement liée à un seul produit qu’elle ne peut plus représenter tout ce que l’on fait aujourd’hui. À terme, j’espère qu’on sera vu comme une entreprise du metaverse. » Mark Zuckerberg (fondateur et CEO de Facebook)

Si le dirigeant d’une des plus puissantes entreprises au Monde annonce un virage stratégique d’une telle envergure – en changeant le nom de la société Facebook en « Meta » -, ce n’est pas anodin.

Inspiré de la science-fiction, le metaverse se présente comme “un monde en ligne virtuel et immersif” (Les Echos). Imaginez un environnement virtuel dans lequel vous pouvez interagir, grâce à votre avatar. Un jeu vidéo immersif, un espace de travail, une salle de fitness, ou encore un musée, où vous pouvez déambuler avec votre hologramme.

Nous ne sommes plus dans de la science-fiction. Mais dans une réalité virtuelle (j’aime beaucoup cette expression), où des images numériques se superposent à un environnement réel, auquel on accède grâce à un appareil électronique (casque ou lunettes par exemple).

« Meta travaille aussi sur une paire de lunettes de réalité augmentée. Il n’est pas le seul. Microsoft a déjà son appareil avec l’Hololens. Apple est aussi attendu dans ces technologies ». Source : Les Echos.

Nous voyons ici que les GAFAM sont très actifs sur le metaverse.

📌 Comment le Metaverse peut-il inventer le futur du marketing ? (Forbes)

📌 Pourquoi il est temps d’établir sa stratégie de marque dans le métaverse (Maddyness)

📌 Louis Vuitton x League of Legends : et si vous vous habilliez comme dans votre jeu vidéo préféré ? (Vogue)

📌 Fortnite  : Les concerts virtuels de Travis Scott ont rassemblé plus de 27 millions de spectateurs (C News)

Le metaverse n’est pas un concept nouveau. Mais il réapparaît aujourd’hui, car la technologie est assez mature pour lui donner vie. En effet, n’importe qui peut accéder à distance à un environnement numérique réaliste, grâce au Cloud Computing. La puissance nécessaire pour profiter d’un tel univers graphique est centralisée dans des data centers. Nous y accédons avec une simple connexion Internet. Ensuite, la blockchain permet de connecter les utilisateurs entre eux. Ces derniers peuvent effectuer en direct des transactions sécurisées en cryptomonnaies, et échanger des actifs numériques sous forme de NFT.

La boucle est bouclée.

Rendez-vous compte des évolutions qui ont eu lieu ces dernières années ? Si toutes ces technologies que sont les cryptomonnaies, la DeFi, les NFT, ou le metaverse soulèvent de nombreux doutes, elles participeront forcément à un changement rapide et profond de notre monde.

Que pensez-vous de tout cela ?

Ressources

Pour aller plus loin, je vous partage ci-dessous mes meilleures ressources.

La newsletter Snowball, dans laquelle j’ai découvert les crypto, les NFT et la DeFi (certaines éditions sont gratuites, d’autres sont réservées aux abonnés) :

📌 Crypto 101 – Comment investir en cryptomonnaies

📌 Ne défiez pas la DeFi !

📌 Investir “facilement” dans la DeFi

📌 Investir dans un univers parallèle ?

📌 Un hôpital dans le cloud

Le podcast La Martingale, qui parle souvent du Bitcoin, de DeFi et de NFT :

📌 Épisode 3 : Bitcoin : arnaque ou opportunités ?

📌 Épisode 46 : Investir dans un loft à Chicago avec 30 euros (DeFi)

📌 Épisode 54 : Montagnes russes des cryptos : comment s’y retrouver ?

📌 Épisode 86 : Maman, je vais tout t’expliquer sur les NFT

📌 Épisode 91 : La crypto pour les nuls, back to basics

📌 Épisode 117 : Tout savoir sur la DeFi (Decentralized Finance)

La chaîne YouTude d’Owen Simonin (aka Hasheur), un jeune expert en cryptomonnaies.

L’épisode de Thinkerview De la récession à la crypto ? Raphaël Rossello et Owen Simonin.

La newsletter Presse-Citron, pour rester à l’affût des nouveautés de la tech’.

Et la tribune de Yoann Lopez (fondateur de Snowball), dans les Echos Start : Bitcoin et cryptomonnaies : pourquoi ce n’est pas une bulle mais une tendance de fond.

Enfin, sachez que cette édition Des Chiffres Et Des Lettres est destinée à vivre dans le temps. Le but ? Améliorer ma présentation de ces différents concepts, pour les rendre accessibles à tous. Alors, si vous avez des questions par rapport à un des points évoqués dans cette édition, écrivez-moi. Car j’aimerais la rendre la plus claire possible.

Aussi, si vous savez quels points mériteraient d’être enrichis, dites-le moi également.

Enfin, j’aimerais connaître votre avis, à propos de cette édition (rendez-vous ci-dessous dans les commentaires, ou par e-mail contact@maximeblasco.com).

Je vous remercie pour votre temps.

Et je vous souhaite une bonne semaine !

Maxime