Du grand groupe au freelancing, le bilan de ma première année

Des Chiffres et des Lettres

Édition n°39

29 décembre 2021

De contrôleur de gestion à créateur de contenu

Nous sommes en septembre 2019, et j’écris mon premier article personnel sur Internet. J’y explique pourquoi j’ai choisi de travailler dans un grand groupe, alors qu’un poste dans une start-up s’offrait à moi.

Inconsciemment, j’ai profité de 3 des grands bénéfices de l’écriture en ligne : clarifier ses pensées, créer une audience et documenter son évolution.

Inconsciemment, j’ai donné un élan à ma carrière et à mon développement personnel, en prenant le temps d’écrire. Et en saisissant l’opportunité de le diffuser sur le Web.

1 an plus tard (décembre 2020), j’écris le bilan de cette expérience dans un grand groupe. J’ai pris beaucoup de leçons. Mais je n’y ai pas trouvé ma place. Par contre, j’ai redoublé d’efforts pour développer une activité de freelance, en parallèle de mes études et de mon travail.

« Je n’ai jamais autant travaillé, lu, appris, appliqué que durant ces derniers mois. Et j’ai adoré ça. J’ai commencé à développer mon activité de freelance en parallèle de mon emploi salarié et de mes études. »

Decembre 2020.

Inconsciemment, cette activité parallèle m’a aidé à trouver ma place. À créer mon métier, en liant mes compétences financières et mon intérêt pour le marketing.

Inconsciemment, j’ai posé la première brique d’une nouvelle aventure entrepreneuriale.

Un nouveau souffle.

Un nouvel élan.

Nous sommes en décembre 2021, et j’écris en ce moment le bilan de cette première année de travail indépendant.

Douze mois riches d’enseignements.

Où jamais rien ne va assez vite.

À part le temps qui défile.

Comment s’est passée ma première année de freelance ?

« J’ai détecté un marché autour de la création de contenu web, pour les entreprises des secteurs de la finance et gestion. Mes clients actuels sont demandeurs. »

Journal personnel, 4 septembre 2020

J’avais déjà une activité de freelance depuis 2019, en marge de mon alternance. C’est comme cela que je me suis créé une petite base de clients. Avant de me lancer à plein temps sur ce créneau, je me suis assuré d’avoir des missions durant les premiers mois.

C’est grâce à cela que j’ai pu me lancer sereinement, le 1er décembre 2020, le lendemain de ma fin de contrat chez Airbus.

C’était un avantage incroyable. Car j’avais de la visibilité sur mes 3 premiers mois d’indépendance : je savais ce que j’avais à faire chaque jour, et je savais que j’allais rentrer du chiffre d’affaires.

Message à Maxime de septembre 2020 : Bien joué !

Le challenge de cette première année était clair : générer un revenu confortable, tout en augmentant mon taux journalier. Pourquoi ? Car des freelances expérimentés me disent clairement que je facture en dessous du prix du marché. Et parce que si je veux tenir sur le long terme, je dois prendre des missions qui rémunèrent assez pour éviter d’être surchargé.

Le levier pour augmenter mon TJM, c’est la crédibilité. Donc, il faut que j’augmente ma valeur perçue. Et cela passe par :

  • la construction d’un portfolio (quelles sont les missions que j’ai réalisées, pour qui, et que pensent-ils du résultat ?) ;
  • le renforcement de ma marque personnelle (en créant du contenu).

Je savais ce que j’avais à faire pour 2021.

Autre point, je me suis vite rendu compte de l’importance du SEO (référencement naturel sur les moteurs de recherche) pour mes clients. Ni une, ni deux, je me lance dans une formation de référence : l’Atelier Cocon Sémantique de Laurent Bourrelly. J’en parlerai plus en détail dans la seconde partie de ce texte, mais cette formation a complètement changé mon activité. Par la suite, j’ai même donné 2 formations sur le cocon sémantique, à 2 entreprises différentes.

Durant cette première année, j’ai eu l’opportunité de devenir mentor pour Les Geeks des Chiffres. C’est une école de comptabilité en ligne, qui aide des élèves à réussir leur DCG (BAC+3, parcours expertise-comptable). Quel challenge ! J’ai créé des dizaines de cours, cas pratiques et quiz sous format PDF et vidéo. C’est un énorme accomplissement, sur lequel je reviendrai un peu plus bas.

Après un premier trimestre 2021 bien rempli, je me pose beaucoup de questions.

« Ne serait-il pas intéressant de créer une agence digitale ? Ou de me focaliser sur un solo-business ? Pourquoi ne pas créer un projet parallèle (side-business) ? Mon positionnement est-il assez clair ? »

Je m’aperçois alors d’une chose : quand on est indépendant, on se pose beaucoup de questions. Et c’est très énergivore. Je prends donc la décision d’investir dans un coaching. J’écoute les podcasts de Romain Limmois depuis des mois, je suis persuadé qu’il pourra m’aider. Et c’est une excellente idée (je vous explique pourquoi dans la seconde partie).

Autre caractéristique du travail indépendant : la solitude. Globalement, cela ne me pose pas de problème. J’aime être dans ma bulle. Et je fais partie de 2 collectifs – Sauce Writing et Bootcamp SEO – qui me permettent de rester en contact avec d’autres indépendants. Mais le confinement pèse. J’ai alors l’opportunité de participer à une rencontre avec les autres membres du Bootcamp SEO, en Andorre. Quel bonheur de rencontrer d’autres entrepreneurs ! Durant ce bootcamp, j’ai encore plus ouvert les yeux sur les opportunités énormes du SEO.


Je vois dans mes notes que durant cette période, je me confronte à la résistance. Cet ennemi invisible qui vous empêche de vous mettre au travail, qui vous dirige vers une distraction, et vous fait perdre du temps. Pas de recette miracle, il faut apprendre à vivre avec et prendre de bonnes habitudes : un planning bien organisé, un téléphone en mode avion, de nombreuses pauses, et des objectifs clairement définis. À l’heure où j’écris ces lignes, je ne suis toujours pas un expert de la productivité. Mais j’identifie parfaitement les moments où se manifeste la résistance. Je sais comment la contrer. Mais surtout, je sais lâcher prise et accepter la distraction. Pas de remords. Pas de jugement. Je suis quelqu’un de curieux et de créatif ; je suis donc très sensible à la distraction. Il ne faut juste pas qu’elle m’éloigne de l’atteinte de mes objectifs.

« J’ai beaucoup travaillé pour mes clients. Mon planning est plein. Je rentre du CA, au détriment de ma marque personnelle. »

Journal personnel, 2 mai 2021

Je me rends compte d’une chose : l’atteinte de mon objectif de revenus peut prendre le dessus sur mon objectif de valeur perçue. Oui, quand je travaille sur un projet client, je ne produis pas du contenu pour LinkedIn ou pour mon site Internet. D’où l’importance d’augmenter mon taux journalier. Mais face à un flux de travail entrant important, je n’ai pas su totalement m’organiser pour consacrer des blocs de temps pour mon propre marketing. C’est une des leçons de cette première année. Aujourd’hui, mon planning est rempli à 20% de plages consacrées à mon propre marketing de contenu. Mais je fais encore sauter certaines plages pour de la production client. La création d’une société (j’y reviens plus bas) et la sous-traitance devraient m’aider à m’améliorer sur ce point.

Plus haut, je vous parlais de questions que je me posais à propos de mon positionnement. J’ai choisi de conserver celui-ci : aider les entreprises de conseil et les fintech à développer leur visibilité grâce à la rédaction de contenu sur le web. Ce qui me pose un nouveau problème, c’est la création d’une offre claire. Je ne vends plus uniquement des articles. Je veux aller plus loin. Je veux aider mes clients à générer de la croissance grâce à la création de contenu. De l’acquisition de visiteurs, à l’engagement de prospects, en passant par la conversion en clients, jusqu’à la rétention. Le contenu est utile à chacune de ces étapes. Mon challenge à partir du second semestre 2021 était donc de passer de rédacteur à content strategist (je ne trouve pas de meilleur nom 😅). Je travaille encore sur ce point, mais j’ai réussi à créer une offre claire, après énormément de travail.

Ce second semestre est également marqué par un nouveau sujet : le passage de la micro-entreprise à la société unipersonnelle. J’y reviendrai plus en détail dans la 3eme partie, mais la suite logique de mon aventure entrepreneuriale fait que le statut (très avantageux) de micro-entreprise n’est plus aligné avec mes objectifs. J’ai donc pris le temps d’y réfléchir, de contacter l’URSSAF et Pôle Emploi pour connaître mes droits (un grand moment, durant mes vacances en Corse…) et de parler avec plusieurs conseillers. Cela m’a pris plus de 3 mois, entre le début de ma réflexion et l’immatriculation de ma société.

Le dernier trimestre 2021 est marqué par une volonté de consacrer plus de temps à ma création de contenu. J’ai créé un cocon sémantique et écris une quinzaine de pages, que je diffuserai début 2022. C’est un énorme travail, que j’avais trop sous-estimé. Ensuite, j’ai commencé à travailler sur un side-business, avec un autre indépendant. Quel plaisir de travailler à 2 sur un business ! Je vous parlerai très prochainement de ce projet, en lien avec mon ancien métier.

En conclusion, cette première année de freelance s’est très bien passée. Au niveau des revenus, j’ai dépassé un objectif qui était déjà ambitieux. Mais je me suis confronté à pas mal de difficultés : une avalanche de questions, la résistance, la gestion du temps, le positionnement et la priorisation. Je connais maintenant mes ennemis ^^. Il me tarde de voir s’ils auront changé dans 1 an.

Revenons maintenant sur mes plus grands accomplissements de cette année.

Quels ont été mes grands accomplissements ?

Voici en 8 points mon retour sur mes accomplissements de cette première année de freelancing :

  1. Clients : 80% de mes missions proviennent de clients récurrents. C’est un excellent point, car cela permet de travailler sur des projets à long terme, de gagner du temps (prospection, devis, lancement de la mission) et de la sérénité.
  2. Coaching : excellent choix que d’avoir investi du temps et de l’argent dans 3 mois de coaching avec Romain Limmois. Le plus gros bénéfice : la clarté. Je vois mon activité et mes projets sur le long terme. Je suis patient, je fonctionne sous forme de saisons, et je prends des décisions en me demandant si elles m’éloignent ou non de ma journée idéale. Merci Romain.
  3. Formation : j’ai quitté l’école à 28 ans. Je suis particulièrement sensible à l’apprentissage. Et j’ai gardé cet état d’esprit d’étudiant. Ma formation au SEO a complètement changé mon offre. Aussi, je me suis formé à la méthode Atomic Thinking, qui m’a permis de trouver un système de gestion des connaissances incroyable. Enfin, Sauce Writing m’a permis d’améliorer ma plume : un immense vecteur d’opportunités. Je vais donc continuer de me former, en suivant mon intuition et mes objectifs à long terme.
  4. Enseignement : j’ai créé les programmes de Management, Communication Professionnelle et Economie pour le DCG. C’est un énorme accomplissement. Le fait de parler face caméra – ou d’enregistrer ma voix lors des présentations – était un challenge de taille. Cela va m’aider à créer du contenu vidéo et/ou audio (dans les prochains mois, je l’espère 😏). Merci Les Geeks des Chiffres, et bravo pour ce que vous faites.
  5. Second Cerveau : je consomme énormément de contenus. Livres, articles, newsletters, podcasts, vidéos… Des dizaines d’heures chaque semaine. Or, comment faire pour en extraire les précieux enseignements, les stocker, les catégoriser et créer des liens entre différents sujets ? Eliott Meunier a trouvé la solution et créé la méthode Atomic Thinking. Mon second cerveau grandit petit à petit, et je compte bien m’en servir toute ma vie.
  6. Sport : quel bonheur de pouvoir lâcher son ordi quand on le souhaite, pour courir dans les collines autour de chez moi. Un bonheur simple, mais précieux. J’ai couru plus de 1 200 km cette année. C’est la meilleure thérapie possible. J’espère faire mon premier trail en 2022 ! Je compte également reprendre plus sérieusement la musculation, que j’ai lâchée cette année 😅.
  7. Lecture : j’ai lu 30 livres en 2021 ! La lecture me permet de commencer (et parfois terminer) mes journées de la meilleure des manières. De trouver énormément d’inspiration, et de m’évader. Mes coups de cœur : Leonard De Vinci, Le Comte de Monte Cristo, L’identité de marque, Obelix et Compagnie (une leçon d’économie !) et De l’Inbound Marketing à l’ABM. Romans, biographies, marketing, BD… L’inspiration est partout.
  8. Société : moins d’1 an après m’être lancé comme freelance à plein temps, j’ai créé une société. C’est assez fou quand j’y pense (même si ce n’est qu’une formalité juridique). Je vous propose de faire un focus sur ce point dans le paragraphe suivant.

Pourquoi créer une société unipersonnelle quand on est micro-entrepreneur ?

Soyons clairs : quand on est prestataire de services, le statut de micro-entreprise, c’est génial. Si on cumule le régime fiscal Micro-BNC, aux aides pour la création d’entreprise (exonération de CFE, ACRE, ARCE), et au versement libératoire de l’IR, on obtient une très belle niche fiscale et sociale. Le régime d’imposition de la franchise en base de TVA et la comptabilité ultra-simplifiée sont également de beaux avantages. La micro est très utile pour lancer un projet, mais aussi pour vivre confortablement.

Mais forcément, ce statut a ses limites. Un plafond de chiffre d’affaires, pour commencer. Environ 72 000€ de chiffre d’affaires annuel. Au-delà, c’est l’entreprise individuelle qui nous attend. Cette limite n’était pas problématique pour moi. Avec mon modèle d’affaires, 70K€ de CA, c’est comparable à un emploi rémunéré 70K€ brut annuels. Ce qui est excellent, selon ma perception des choses aujourd’hui.

Non, les principales limites étaient plutôt les suivantes :

  • impossible de sous-traiter ;
  • impossible de piloter sa rémunération ;
  • impossible de créer un patrimoine professionnel.

La micro-entreprise ne permet pas de déduire des charges de votre chiffre d’affaires. Un abattement forfaitaire s’applique pour le calcul de l’IR, mais c’est tout. Il n’y a aucun intérêt à sous-traiter une part considérable de votre activité, si vous optez pour ce statut. Or, j’ai besoin de déléguer certaines tâches pour atteindre mes objectifs :

  • me libérer du temps pour travailler mon propre marketing de contenu ;
  • développer une offre de conseil et de déploiement d’une stratégie de contenu ;
  • travailler sur les meilleures missions possibles pour moi.

Ensuite, en micro-entreprise, le chiffre d’affaires est l’assiette fiscale. Vous payez vos cotisations sociales et votre impôt sur le revenu sur vos recettes. Puis, vous pouvez utiliser le reliquat pour différentes dépenses. Or, je suis arrivé au point où j’aimerais réinvestir du chiffre d’affaires dans :

  • mon activité ;
  • des placements (financiers, immobiliers et divers).

Mais la micro-entreprise n’est pas idéale pour cela. Lorsque je génère 1 000€ de CA, je suis directement imposé (cotisations sociales et IR). Puis, j’investis mon argent. Ce qui impacte considérablement le retour sur investissement.

Or, la société permet d’investir son chiffre d’affaires, sans être imposé sur ces sommes. Au contraire ! Ces dépenses viennent en déduction de votre résultat annuel, et représentent donc une économie d’impôt. Avec ma société, je dispose désormais d’un outil qui me permet de mieux piloter la répartition de mon chiffre d’affaires, entre ma rémunération et mes investissements.

Enfin, d’un point de vue patrimonial, la micro-entreprise n’est pas adaptée. Elle ne permet pas de constituer un actif distinct du patrimoine personnel. Une marque, un goodwill et un fonds de commerce valorisables. Avec une société – même unipersonnelle – je crée une nouvelle personne morale. Et je peux construire un patrimoine professionnel valorisable.


En bref, je pense que le passage en société m’aide à aller de l’avant. Il m’accompagne dans une démarche entrepreneuriale plus claire. Et s’aligne avec mes objectifs à long terme.

La suite ?

Quand je regarde dans le rétroviseur, je vois que j’ai parcouru beaucoup de chemin cette année. Je ne cherche pas forcément à faire plus. J’ai juste envie de faire mieux :

  • Continuer à travailler ma marque personnelle, pour devenir remarquable dans mon secteur d’activité.
  • Construire une offre à la fois étoffée et claire, pour accompagner les financiers-entrepreneurs dans leur développement. Je dois formaliser cette offre sur mon site et créer un petit nombre de partenariats.
  • Développer 1 (ou 2) side-business, liés à mon activité principale. Des projets qui diversifient mes sources de revenus, et apportent de l’eau à mon moulin (plus de visibilité et plus de crédibilité). C’est aussi une excellente source de motivation et d’inspiration.
  • Me former sur mon cœur de métier et sur la gestion. Autour de mon cœur de métier, je pense au SEM, à l’Inbound Marketing, au branding et à l’écriture. Pour la gestion, je pense surtout aux moyens me permettant de structurer mon activité (gestion de projet et organisation).
  • Créer du contenu, car c’est LE levier le plus puissant pour générer des opportunités incroyables. Au programme : continuer de publier des articles et ma newsletter mensuelle. J’aimerais également créer une chaîne YouTube, pour utiliser un autre format de contenu : la vidéo (S2 2022).

Eh bien, quelle année ! J’en oublie complètement le futur qui m’était destiné dans mon passé. À présent, je suis le pilote de ma vie. Je choisis d’accélérer ou de ralentir. De suivre un trajet défini à l’avance, et de parfois sortir explorer un nouveau chemin. Mais si je retiens une chose, c’est qu’il ne faut jamais oublier de regarder dans son rétroviseur. On surestime toujours ce qu’on est capable de faire en une semaine. Mais on sous-estime souvent ce qu’on est capable d’accomplir en une année.

Je ne me remercierai jamais assez d’avoir commencé un journal en novembre 2017. C’est le roman de ma vie, le répertoire de mes doutes et la mémoire de mon avancée. Je vous encourage à prendre le temps chaque mois d’écrire votre ressenti sur les 30 derniers jours. Et de vous fixer des objectifs pour le mois suivant. C’est un excellent moyen de progresser, et d’écrire votre biographie. Vous pouvez aussi enregistrer un audio, ou vous filmer si vous préférez 😊.

Merci également à Maxime de 2018 d’avoir pris l’initiative de créer un blog sur le contrôle de gestion. Je me suis fait un énorme cadeau ce jour-là, sans le savoir.

Enfin, quelle chance d’avoir cette newsletter, dans laquelle je peux documenter et partager avec vous mes apprentissages. En 2022, je compte écrire une nouvelle édition chaque mois. Je ne me fixe pas de date précise. Je veux écrire chaque édition lorsque mon intuition et mon envie m’y encouragent.

Il ne me reste qu’à vous remercier pour votre temps. Je serai heureux comme toujours de discuter avec vous. De connaître votre avis sur ce texte. Ou de parler de vos objectifs.

Rendez-vous l’année prochaine, pour un nouveau bilan.

Je vous souhaite le meilleur pour tous vos projets.

Maxime